« Qui l’aurait cru ? » Le coronavirus en Corée du Sud est peut-être un rêve pour Kim Jong, mais une réalité pour les habitants de ce pays. Bien que des mesures strictes aient été mises en place après la détection du premier cas, la Corée pourrait ne plus contrôler le nombre grandissant de cas infectés. Un véritable surplus pour les autorités sud-Coréennes.
La Corée paye ses citoyens
À situation spéciale, décisions radicales. La Corée du Sud semble être sous le joug de cette pandémie. Désespéré, le gouvernement met en place un moyen efficace pour lutter contre l’évolution du nombre de cas contaminés. Tous les moyens sont bons pour prendre le dessus sur cette crise.
En effet, le gouvernement encourage les citoyens à dénoncer les cas suspects de contamination. Si cette dénonciation conduit à une détection effective de la pandémie, l’État vous verse une commission. Les citoyens sont donc à la chasse de contaminés. D’ailleurs, le bon sens des citoyens est appelé. Redoublez de vigilance !
Une plateforme
Afin de faciliter la communication, les autorités sud-Coréennes ont mis en place une plateforme afin de permettre aux uns et aux autres de dénoncer librement leurs concitoyens. La situation semble bien désespérée pour la Corée qui enregistre plus de 66 000 cas avec 1000 décès.
Avec cette plateforme, le nombre de dénonciations a bondi du simple au double. Nous en sommes actuellement à plus de 16 000.
Une troisième vague de contamination imminente
Si la Corée du Sud a pu faire face aux deux premières vagues de la pandémie, la troisième risque d’être encore plus complexe. En effet, si les deux précédentes vagues étaient liées à des groupements de vagues massifs, cette nouvelle se caractérise par une multitude de clusters familiaux sur l’ensemble de la péninsule. Les habitants devraient se remettre dans la main de le leur président ou de Dieu. Le choix est fait pour certains Coréens !